L’association Suprême Taekwondo a organisé une cérémonie exceptionnelle pour honorer ses athlètes médaillés d’or aux compétitions des éditions 2024 et 2025. Cette cérémonie a vu la présence de personnalités de marque, notamment Me Jean Félix Ngomas, président de l’Association gabonaise de Taekwondo et Elisabeth Dovy, marraine de la 28e édition du Baby Champion.
Pour le président de Suprême Taekwondo, Mike Mikala, le secret de la réussite réside dans le travail acharné et la rigueur. « On ne va pas le cacher ici parce qu’on veut que tous les clubs essayent de faire comme nous. Il faut avoir un certain nombre d’athlètes bien formés. Nous nous entraînons matin et soir, du lundi au samedi », a-t-il fièrement déclaré.
Lors de cette cérémonie, seuls les médaillés d’or ont été récompensés, recevant des enveloppes symboliques en plus de leurs trophées, pour les encourager à viser toujours plus haut.
L’association « Suprême Taekwondo », fédère plusieurs clubs dont Hyundai TKD Club, Otambo TKD, AKD DJON, Révolution et l’École des Champions. Elle a été distinguée à plusieurs reprises lors des compétitions nationales et internationales. Parmi les nombreux trophées remportés en note entre autre:
- 1ère équipe à la 2e édition de la Coupe Léon Folquet
- Meilleur coach de la 28e édition Baby Champion
- 3e équipe Kyorugi au 27e Baby Champion
- 2e place à la Coupe de l’Ambassadeur de Corée 2024
- Vice-champion de la Coupe du Président de la République 2025
- Trophée de la 1ère équipe à la Coupe Léon Folquet 2023.
Les athlètes individuels ont également brillé, avec notamment le titre de meilleur athlète garçon du 28e Baby Champion, meilleur coach et bien d’autres titres.
Afin de ne pas être en marge de différentes évolutions dans cette discipline sportive, les formateurs de Suprême Taekwondo qui, chaque jour visent l’excellence, suivent des formations en ligne et s’inspirent des réseaux sociaux pour intégrer des techniques innovantes et surprendre leurs adversaires.
Avec un tel palmarès et une méthodologie aussi rigoureuse, Suprême Taekwondo s’impose comme un modèle dans le paysage martial gabonais. La relève est assurée.
